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Le briseur d’âmes, Sebastian Fitzek

 

L’histoire :

 

Un psychopathe sévit dans les environs de Berlin.

Lorsque la police retrouve ses victimes, ces dernières sont vivantes, n'ont subi aucun sévices, mais se trouvent prostrées dans un état végétatif, psychologiquement anéanties, comme privées de conscience... D'où le surnom que lui a donné la presse : le briseur d'âmes. Quelles tortures mentales a-t-il infligé à ses proies ? Et pourquoi laisse-t-il dans leur main une phrase énigmatique ? Caspar, un amnésique d'une quarantaine d'années interné dans une clinique psychiatrique de luxe, n'aurait jamais imaginé croiser le chemin du psychopathe. Et pourtant, en cette veille de Noël, alors qu'au-dehors une tempête de neige fait rage, lui, le personnel médical et quelques patients se retrouvent enfermés dans la clinique, coupés du monde... avec le briseur d'âmes. Et, cette fois, il tue !

 

Mon avis :

 

Frisson, suspense, tension et final explosif... Tout cela autour d’une intrigue traitée avec d’originalité (nous passons de la lecture d’un dossier médical qui raconte l’histoire « avant la Peur », à celle du récit d’aujourd’hui, « après la Peur »)… Bref, tout pour faire d’un thriller un excellent thriller si tout est maitrisé… Et encore une fois, Mr Fitzek maitrise.

Avec « Le briseur d’âmes », l’auteur allemand nous livre un roman dans la lignée de « Thérapie » (son premier roman), au point où l’on y parle même de son personnage principal, le Dr Viktor Larenz. Bref, du Fitzek pur jus…

Difficile (comme souvent) d’en dire plus sur ce roman sans prendre le risque de dévoiler d’importants éléments de l’intrigue. Cela dit, si vous avez aimé les précédents livres de Sebastian Fitzek et/ou si vous aimez les thrillers qui vous hérissent le poil, vous n’avez pas besoin d’en savoir plus… Si vous commencez ce roman, vous ne pourrez plus le lâcher.

Pour moi, en 4 romans (traduit en français), Fitzek réussit un sans faute. Je m’éclate à chaque fois que je le lis et j’attends son prochain livre avec impatience… Et ils ne sont pas nombreux les auteurs entrant dans ce cas de figure.

 

-Sylvain-

 

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