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Les Visages, Jesse Kellerman

 

L’histoire :

 

Lorsqu’Ethan Muller, propriétaire d’une galerie ,met la main sur une série de dessins d’une qualité exceptionnelle, il sait qu’il va enfin pouvoir se faire un nom dans l’univers impitoyable des marchands d’art.
Leur mystérieux auteur, Victor Cracke, a disparu corps et âme après avoir vécu reclus près de quarante ans dans un appartement miteux de New York.

Dès que les dessins sont rendus publics, la critique est unanime : c’est le travail d’un génie. La mécanique se dérègle le jour où un flic à la retraite reconnaît sur certains portraits les visages d’enfants victimes, des années plus tôt, d’un mystérieux tueur en série. Ethan se lance alors dans une enquête qui va bientôt virer à l’obsession.

 

Mon avis :

Il parait que Jesse Kellerman a un père écrivain et une mère… écrivain également. Je ne vous cache pas que je n’ai jamais lu un seul de leurs livres. Je ne me risquerai donc pas à en parler. Ce que je peux dire en revanche, c’est que ces deux là sont à l’origine d’un grand, grand écrivain : leur fils Jesse ; Lui-même à l’origine d’un grand, grand livre :  « Les visages »…

Tout est là : Une immersion totale dès la première page en plein milieu de l’art contemporain, dans un Chelsea New Yorkais ultra réaliste ; Une écriture fluide, riche et intelligente ; Des personnages et une intrigue extraordinairement bien construits.

« Les visages » roman de l’année ? Quoi qu’il en soit, tout dans ce premier roman semble parfait, et on peut être sûr qu’après l’avoir lu, on le gardera en mémoire longtemps… Très longtemps.

 

-Sylvain-

 

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